Toujours aussi isolé et relativement intègre le
fort St. Joseph rappelle les liens commerciaux et militaires qui existaient entre les Britanniques et
les Premières Nations de la région des Grands Lacs de l'ouest, de la fin de la guerre de l'Indépendance
jusqu'à la guerre de 1812.
En plus du fort lui-même, le lieu historique comprend un ensemble
remarquable de vestiges archéologiques qui, dans leur état non exploité, racontent en partie la
vie complexe des militaires, des familles et des commerçants - autochtones et européens - qui
ont habité ce poste frontalier éloigné.